Nicolas Feuz nous fait le plaisir de venir dédicacer plusieurs de ses nouveaux ouvrages le jeudi 25 juin à 18h30.
Une bonne manière de couronner l’été et surtout on l’espère, la fin du confinement.
« Restez chez vous ! Pendant des semaines, je suis
resté confiné, comme vous. Passée ma gestion par
télétravail des affaires courantes au Ministère
public de Neuchâtel, j’ai voulu imaginer ce que
pourrait être un polar écrit sous confinement. J’ai
décidé de vous l’offrir. »
Nicolas Feuz
Aux premiers jours de l’épidémie de Coronavirus, le procureur Feuz a relevé le défi d’écrire un polar en temps réel, sous forme de feuilleton quotidien. Deux ou trois chapitres chaque jour, dans la pure veine du roman de genre.
Voici enfin le livre de cette expérience inédite.
Une maladie mystérieuse paralyse l’Europe. La survie du monde dépend de l’enquête d’un journaliste têtu, à la recherche du patient zéro, et de l’investigation d’une inspectrice de police obsédée par des disparitions d’enfants. Et si les deux se rejoignaient ?
Une histoire effroyable où la Suisse est l’épicentre d’une contamination planétaire.
Aussi effrayant qu’irréel. Tellement vrai. Du Feuz à l’état brut. Le livre événement de 2020.
Nicolas Feuz est procureur à Neuchâtel. Restez chez vous est son douzième roman. Il l’a écrit en direct, chaque soir, au moment où s’imprimait son nouveau polar, L’Engrenage du mal, qui paraît simultanément chez Slatkine & Cie. Deux romans à lire séparément, même si l’imagination diabolique de l’auteur crée des renvois naturels de l’un à l’autre.
Une fin d’été caniculaire qui transpire la vengeance, un mois de janvier polaire où la justice relève les compteurs. Entre ces deux temps s’installe un aller-retour oppressant, réglé comme une montre suisse à complication.
La scène se passe entre Lausanne et La Chaux-de-Fonds. Quatre hommes sont enlevés et séquestrés dans des moulins souterrains désaffectés. Ils ne se connaissent pas et pourtant tout les réunit.
Le nouveau roman du procureur Feuz a l’échappement inquiétant d’un barillet dont on armerait le remontoir à vide. Implacable, impeccable. De la très grande horlogerie.
Le 16 septembre 1943, sur les hauteurs de Bastia, un convoi SS quitte un couvent avec une mystérieuse cargaison. Chargées sur une barge à destination de l’Italie, les caisses finissent englouties au large du cap Corse. La légende du Trésor de Rommel est née. 75 ans plus tard, un lingot frappé de la svastika réapparaît en Suisse.
Partie de Neuchâtel, l’intrigue acrobatique de ce roman à tiroirs bouscule le lecteur de la Suisse à la France, entre deux époques sombres, hier, aujourd’hui, sur fond d’occupation nazie et de domination mafieuse.
Comme toujours, chez le procureur Feuz, le style est chirurgical, effroyablement efficace.
Nicolas Feuz est le procureur du canton de Neuchâtel, en Suisse. L’Ombre du Renard est le deuxième volet de la saison inaugurée avec Le Miroir des âmes autour du procureur Norbert Jemsen, de sa greffière Flavie Keller et de l’inspectrice Tanja Stojkaj.
Black justice 1.0
Lun des maîtres du polar suisse nous entraîne dans une histoire haletante où jouer aux jeux vidéos est un jeu dangereux. Loris est fan de jeux vidéos en tous genres. Mais lorsque son ami Yoan lui fait découvrir Black justice, jeu interdit, qui parodie la justice, avec de fortes résonnances dans la vie quotidienne, sa vie de collégien bascule. Réalité et jeu se confondent, Loris va lapprendre à ses dépens !